lundi 30 novembre 2015

Une fessée mémorable...






      Je vais raconter mes dernières aventures un peu dans le désordre, comme me viennent les souvenirs depuis que j'ai de nouveau envie d'écrire... Et celle-ci, si elle n'est pas la première dans l'ordre chronologique, est celle qui m'a aidée à franchir le pas de la création du blog...


Mercredi 20 octobre 2015

    Tout avait commencé par la publication d’un article sur Facebook, qui faisait l'éloge de la fessée.Nous étions deux à commenter, taquinant le "partageur" de l'article sur l'idée qu'il devrait nous fesser toutes les deux à la chaîne, quand il se manifeste sur ma messagerie privée…        Nous nous connaissons, nous fréquentons tous deux assidûment les Apéros libertins de M. Chapeau © et les Ecrits polissons© de Flore Cherry. Nous avons même joué ensemble au cours d’une « orgie dominicale » organisée par le même M. Chapeau, et que j’avais raconté en d’autres temps et en d’autres lieux. Bref, c’est quelqu’un que j’apprécie et dont je peux dire que je le connais bibliquement et que j’en garde un bon souvenir.



      La conversation s’engage sur le thème de la fessée et rapidement l’atmosphère chauffe… Je constate avec plaisir que j'aime toujours ce jeu, que je n'ai pas pratiqué depuis longtemps, et qu'il devient difficile de me concentrer sur mon travail. Finalement, DC. me propose de venir me fesser à domicile… D’ordinaire, je n’aime pas recevoir des partenaires de jeu chez moi, mais là, poussée par la sensualité de notre échange, je dis oui…

      Il arrive, je l’accueille, juste enveloppée dans mon yukata japonais, avec bas et porte-jarretelles… Après tout, la conversation n’a laissé aucun doute sur ce que nous comptions faire J. Il me prend parfois des coups de folie comme celui-là, et je sens tout de même que DC. est un peu embarrassé, tout comme moi d’ailleurs… Les timides ont parfois un peu peur de leurs propres audaces… On ne va pas rester là, à se regarder dans le blanc des yeux, tout de même. Je sens que nous sommes tous deux dans l’excitation de notre conversation, et sans plus de manières, je m’allonge en travers de ses genoux…

      Il me fesse, alternant douceur et coups plus secs, et me caresse, et je dois dire que très vite, je m’envole vers des hauteurs que je croyais avoir oubliées… Chaque fois que ses doigts effleurent le petit bouton rose et bien caché, je saute en l’air, électrisée, en criant mon plaisir sous ses mains. Quand nous reprenons notre souffle, je ne peux m’empêcher de lui dire : « Je suis contente de voir que le petit bouton réagit toujours au quart de tour, lorsqu’on sait s’en servir ». J’ai envie de lui rendre le plaisir qu’il m’a donné, et mes doigts défont rapidement le bouton du jean, relèvent le t-shirt et baissent le caleçon…. Je me souviens bien du plaisir que m’avait donné la belle queue érigée que je tiens dans ma main, avant de la prendre dans ma bouche, un peu inquiète, comme toujours : et s’il n’allait pas aimer, et si je ne faisais pas ça à sa convenance …? Contrairement à ce que vous pourriez penser, je n’ai pas tant d’expérience, et j’ai appris pendant près de 6 ans à me plier aux directives de quelqu’un qui savait ce qu’il voulait en la matière... Mais DC. me rassure, cela lui plaît.

      Nous prenons le temps de grignoter un peu, car les émotions, ça creuse…Puis il me serre contre lui, et me pince les tétons, déclenchant une nouvelle vague de plaisir. Je me colle à lui en gémissant, je comprends que nous allons passer à d’autres jeux, et j’en suis heureuse, car pour moi, la fessée est bien le plus délicieux des préliminaires… J’avais bien raison de garder de bons souvenirs, car la suite est à la hauteur de ce dont je me rappelais. Et la tendresse, si importante pour moi, n’est pas exclue de ce délicieux intermède…

      J’ai appris plusieurs choses, ce soir-là, et j’en remercie mon complice : je suis encore capable d’éprouver des sensations et je peux m’amuser sans arrière-pensée. Je n’étais pas sûre d’y parvenir, mais je sais maintenant que je le peux.

       Nous avons d’ailleurs bien l’intention de récidiver dès que possible J, comme le dit une de mes chansons favorites « la victime est si belle et le crime est si doux »

5 commentaires :

  1. Un très joli texte, quelle belle façon de dire le plaisir de retrouver les jouissances de la fessée, un bonheur de vous lire.

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  2. Merci de vos compliments, qui me touchent beaucoup :)

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  3. C'est toujours quelquechose la fessee, c'est vrai que c'est un préliminaire excitant. Rien que de lire et d'y penser, ça me fait quelquechose ... Bravo pour le récit.

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